Vosges Centrales : DREISTEIN (alt. 630 m) - 01 - .

EN ROUTE VERS UN CHÂTEAU OUBLIE DU MASSIF VOSGIEN

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Depuis le Hohenburgerberg, je me dirige vers l'Ouest, dans une sublime forêt.

Le versant Ouest du massif du Mont Sainte-Odile arbore un caractère méditerranéen ...

La crête du Hohenburgerberg se trouve sur le joli " Sentier des Merveilles " ...

Cette forêt du Mont Sainte-Odile est absolument splendide, je n'en reviens pas !

Pour la suite, je sens que je vais sacrément souffrir : une descente de fous s'annonce.

D'après le petit panneau du bas, le site du Dreistein n'est qu'à 10 petites minutes ...

La pente est excessivement droite et raide, ça glisse beaucoup : WHOUAHW !!!

130 mètres plus bas, le large chemin se transforme en un très étroit et sauvage sentier.

Malgré l'étroitesse du sentier, la progression reste remarquable.

Dans cette partie du massif, la forêt est très clairsemée et à dominantes résineuses.

En toile de fond, j'ai le prestigieux massif du Champ-du-Feu ...

Le voilà enfin en vue, le fameux château ruiné du Dreistein : alléchant !!!

Afin d'accéder aisément au château, je dois toujours suivre ces marques rouges ...

Les bruyères, les fougères et les myrtilles sont très abondantes, dans ce massif.

Ce panneau signale mon arrivée imminente, sur le site médiéval du Dreistein : yeeesss !

Le sentier d'accès aux ruines du château de Dreistein est en assez bon état ...

Ici, je passe au pied du châtelet oriental (le site du Dreistein en comptant deux).

Le châtelet oriental du Dreistein ne pourra être vu que de loin, depuis le sentier ...

Là, je me situe dans le fossé sec, séparant les deux châtelets (Est et Ouest).

Le châtelet oriental du Dreistein, avec sa façade la mieux préservée : pas moche !

En me retournant, j'aperçois le châtelet occidental, bien plus imposant lui ...

J'espère bien que le châtelet occidental, lui, pourra être approché et pénétré ...

La suite de la visite semble prometteuse : j'ai hâte de continuer !!!

Pour cela, je vous donne rendez-vous dans le prochain article ; patience, donc !