DES EROSIONS ET SCULPTURES EOLIENNES HORS DU COMMUN ...
Un extraordinaire sous-bois moussu, occupe le fond du vallon ...
La forêt résineuse, devient de plus en plus profonde et sauvage ...
Un pâle soleil d'hiver, parvient à créer une ambiance lumineuse irréelle, magique !
Surprise monumentale, après être sortis de la sombre forêt de résineux : on est scotchés !
L'accès à cette impressionnante paroi gréseuse, n'est faisable qu'en hors-piste ...
Une époustouflante cathédrale pendante, considérée comme la plus belle érosion du coin !
Ces nids d'abeilles, sis à la base du rocher, interpellent notre curiosité ...
De très spectaculaires pierres-plaques, monopolisent un large palier intermédiaire ...
Au Domfels ( " rocher-cathédrale " ! ), les lichens jaunes poudrés sont bien sûr de la partie !
Très tôt le matin, seules les parties sommitales sont éclairées par l'astre solaire ...
Vue sur un rebord de la falaise : une étrange " bassine " (bassin de baignade ? ) ...
La longue falaise ne présente, à priori, pas beaucoup d'originalité ... Belle tromperie !
La fameuse " cathédrale " (haute de 6 m ! ), nous domine admirablement, de ... 6 m !
De la pierre-éponge existe bel et bien, au Domfels : la preuve ici, avec cette photo !
Encore un remarquable nid d'abeilles, particulièrement fin, celui-ci ! On reste sans voix !
Des plissements orientés peuvent être repérés, au milieu de l'aérienne falaise ...
" Chrysothrix Chlorina " : ces lichens jaunes fluos, sont très présents au Domfels ...
Ces immenses pierres-plaques inclinées, choquent les regards : grandiose !
La hauteur de l'éperon gréseux est étourdissante : tournis assuré !
Ces tâches jaunes agrémentent une paroi, sans grande originalité ...
Cette cathédrale pendante est mortellement belle : à ne surtout pas manquer !
Le sommet du Domfels, demeure totalement inaccessible, même à un grimpeur ...
Ici, le substrat gréseux arbore des bossages vraiment insolites ... Bizarre, bizarre !
Cette " bassine " mérite d'être photographiée une seconde fois : c'est trop beau !
Les formes très torturées et complexes de la paroi gréseuse, ne laissent pas indifférent ...
Ici, l'oeil aguerri et passionné, pourra distinguer une tête humaine ... Ouvrez bien vos yeux !
Le socle souteneur, très étroit et élancé, semble supporter plusieurs tours ...
La ligne de crête, intégralement boisée, présente une raideur excessive, rude !
Le rêve est toujours permis ... Même si le site n'est pas équipé pour l'escalade !
Nous sommes au comble de l'émerveillement et de l'extase, ici : on fond ...
Un toit surplombe l'aérienne paroi, qui constitue une muraille infranchissable !
L'autre versant du Domfels, se montre encore davantage sauvage, incivilisé ...
Un nid d'abeilles très subtilement doré, a pu être observé, au Domfels ...
L'extrémité terminale du Domfels se finit en un à-pic direct, vif et très tranchant !
Vue générale du Domfels : la ressemblance avec une grosse caisse, est flagrante !
Le premier monolithe, ressemble étrangement, à un hippopotame ... C'est très frappant !
Le soleil matinal, inonde les " Gendari " , d'une lumière chaleureuse, très pétillante ...
Un saurien est ici, surpris en pleine conversation, avec son voisin (bout visible à gauche) !
Une pure magie, embrasse cet endroit, très reculé et sauvage ! Un vrai enchantement !
L'hippopotame mène toute la troupe, à la queue-leu-leu ...
Ici, une fenêtre s'ouvre sur le monde de l'au-delà ; la réalité est pourtant tout autre ...
La forêt ressemble à une cathédrale, dans laquelle on pénètre avec recueillement ...
Le grès rose, porte ici, parfaitement son nom ... L'intensité des tons interpelle !
Ô rose, ô rose, ô rose ... Eau de rose ? Non, du grès ... rose et (re) rose !!!
Remarquez l'extrême finesse du dernier monolithe (au fond, à gauche ... ).
Instantanément, ce " Gendari " nous fait penser à un poisson ...
Ce " Gendari " (le troisième sur les cinq ! ), possède des minis arches et piliers ...
Le quatrième " Gendari " (un poisson), vu sous un autre angle, un peu moins attractif.
Le cinquième et dernier " Gendari " , est le plus massif et sculpté à sa base ...
L'alignement des cinq monolithes est quasi parfait : Dame Nature est incroyable !
Le dernier monolithe est le plus dur à capturer en photo (obscurité et cadrage dimensionnel) !
Cette ligne de crête sommitale, sauvage, est appréciée des ... sangliers !
Surprise, un peu plus loin : ce fabuleux " chapeau napoléonien " ! Une perle ...
L'érosion éolienne a effectué un extraordinaire travail, sur ce monolithe là ...
Le détail du chapeau napoléonien est absolument splendide : quelle finesse !
En arrière-plan (à droite), un immense crocodile surveille son " petit " ...
La paroi de l'angle Sud-Est, est particulièrement érodée ... Splendide !
La hauteur du piton s'avère démentielle (avec près de 40 mètres ! ).
Zoom, sur les magnifiques nids d'abeilles, de l'angle Sud-Est ... Du très grand art !
De ce point de vue, le sommet du rocher est quasiment invisible !
De telles sculptures éoliennes, ne nous laissent pas insensibles ! C'est géant !
Des yeux semblent nous fixer ... Nous sommes les bienvenus, au Welpen !
Un genre de " chocolat coulant " , se cache sous les surplombs débordants ...
En s'enfonçant plus profondément en forêt, le site devient plus sauvage et confidentiel !
La verticalité des parois orientales, est très impressionnante : quelle muraille !
Une gueule de crocodile, très aérienne, nous force à nous soumettre !
L'alliance entre le grès et la forêt, est d'une rare sauvagerie ! On adore !
En certains endroits, la paroi arbore des formes particulièrement torturées, complexes ...
Une fantastique vasque, se cache au Welpenfels ... On se croirait dans une église !
Cette cheminée, très anguleuse et verticale, nous fait tourner les têtes ...
Les parties supérieures du promontoire, arborent des formes beaucoup plus torturées !
Une étroite corniche (face Ouest), permet de rejoindre un palier intermédiaire ...
Ledit palier, le voilà : l'endroit est, dans tous les cas, idéal pour un pique-nique nature !
Depuis ce palier, un joli point de vue s'ouvre sur la vallée de Schwarzbach.
En nous retournant, nous distinguons au loin, Neudoerfel et le Palatinat allemand ...
Nous voici enfin, au sommet du Welpenfels : le lieu force le respect et l'admiration !
Un fabuleux environnement coiffe cette dalle sommitale (pins parasols et bonzaïs).
Vue rabattue, sur la commune de fond de vallée, de Neunhoffen.
Le rebord sommital est peuplé de cladonias blanchis, typiques de la contrée !
Les lichens des rennes (cladonias), ont une forte affinité nordique, polaire ...
La vallée de Schwarzbach, dans toute sa splendeur ... Quel bel écrin de verdure !
Une jungle " amazonienne " , semble surgir de nulle part ! Le décor est surnaturel !
Encore et toujours ces cladonias blanchis ... A préserver absolument !
Un cairn d'escalade semble se profiler, au sommet de ce rocher ! On s'interroge ...
Un extraordinaire environnement sylvicole, qui ne laisse pas les pros-nature indifférents ...
Une forme d'entonnoir, tout à fait typique de la contrée ; pittoresque, de surcroît !
C'est en longeant cette belle falaise gréseuse, que s'effectue l'accès au sommet ...
Vue générale du Welpenfels, depuis le sommet de la crête boisée (alt. 342 m).
Sur la crête, un énorme saurien nous barre le passage ! La visite s'arrêtera donc là ...
Une borne armoirée renversée, gisant au sol, délimite la ligne de crête sommitale.
Un peu plus loin, en pleine forêt, se trouve une aire de nourrissage pour oiseaux ...
La ligne de coupe sommitale est relativement bien praticable (du moins, au début ... ).
Au Lindenberg, la densité de la forêt impressionne et a de quoi en rebuter plus d'un ! Brrr !!!
Le premier des quatre monolithes sis sur la crête, recèle une très pittoresque arche ...
Au niveau de cette fameuse arche, se trouve un antique polissoir (d'origine préhistorique ! ) ...
Au niveau du polissoir, un abri sous surplombs est régulièrement occupé (sangliers ! ).
Cette arche ne nous laisse pas insensibles : un regard de l'autre côté du rocher s'impose !
Le polissoir contient de remarquables stries, en formes de " quille de bateau " ( " QDB " ) !
Bombardé par l'astre solaire à son paroxysme, le substrat gréseux devient plus bigarré encore !
La face orientale est la plus significative et remarquable, pittoresque ...
Le grès est ici, recouvert par des lichens rupestres gris et blancs, très caractéristiques.
Ah ... Cette arche ... Comment y résister, vraiment ?
Vue d'ensemble de la façade Est du premier monolithe du Lindenberg (en venant du Sud).
Avec de tels backs et dévers, il est regrettable que le site ne soit pas équipé pour l'escalade !
Arches, piliers, érosions blanc-beige, failles et fissures, galets, etc : quel magnifique condensé !
Ce triangle jaune peint sur les rochers, est très répandu dans le secteur (crêtes sommitales) !
A l'angle Sud-Ouest du premier monolithe, se trouve ce sublissime pilier avec archette ...
Juste à côté de l'arche, se trouvent de multiples galets (lignes de conglomérat) ...
Détail du polissoir, situé tout près de l'arche du premier monolithe (face occidentale).
A proximité immédiate du polissoir, une magnifique paroi alvéolée s'offre à nos yeux, ébahis !
Si seulement l'accès aux parties sommitales aurait été possible ... GRRR !!!
La paroi occidentale (Ouest), est toujours la plus sombre et lugubre, au Lindenberg.
Une étroite corniche, permet de longer les aériennes parois Est : spectaculaire !
Les érosions originales et insolites foisonnent, sur cette face Est inondée de soleil ...
La hauteur de la longue façade orientale, nous met l'eau à la bouche : miam, miam !!!
Nous nous imaginons déjà, entrain d'escalader dans cette faille : quel bonheur, non ?
Vue d'ensemble, du deuxième monolithe du Lindenberg (en venant du Sud). Joli !
Décor sauvage, jungluesque, de la façade occidentale : un vrai parcours du combattant !
Sur cette sombre et austère face Ouest, les fougères et les mousses abondent !
Cette poudre de lichen, blanche, est énigmatique ... Une belle grosse tâche !
Ce second monolithe, cache un deuxième polissoir : essayez de le trouver ...
Absolument sublime, cette érosion : on dirait un orgue d'église ! Nous, nous fondons ...
" Chrysothrix Chlorina " ... Ces lichens jaunes poudrés, sont typiques, au Lindenberg !
Rose du grès, vert des mousses, gris et jaune des lichens : quelle beau tableau abstrait !
C'est en surplombs, que le Lindenberg recèle les plus belles érosions, las !
La sensation de confinement, d'étouffement, atteint ici son paroxysme : au secours !!!
Des " lianes " , pendent le long de la paroi : preuve que le lieu est très sauvage !
Il suffit juste d'un petit rayon de soleil, pour donner de l'intérêt à cette photo !
Encore une belle tâche de " Chrysothrix Chlorina " ... On en redemande !
La pénétration de cette partie du Lindenberg, se montre très ardue, costaude ...
L'entente entre le rocher et la forêt est fusionnelle ... Indissociable !
Au niveau du sol, surprise : une extraordinaire sculpture éolienne ... D'enfer !
En zoomant, nous avons affaire à un fantastique gruyère, ou " Colorado " ! Splendide !
Vue, au travers des arbres, sur le quatrième et dernier monolithe ( " Lindenstein " ).
Ces plissements orientés, sont très insolites et inhabituels, pour le proche secteur ...
Plantation de jeunes pins et sapins (zone de remembrement sylvicole).
Vue sur le troisième monolithe du Lindenberg ...
Les monolithes du Lindenberg, sont tous, intégralement enfouis dans la forêt !
Cette véritable cathédrale a de quoi nous en mettre plein la vue, nous émerveiller !
Le dieu Râ tout puissant, ionise les " Chrysothrix Chlorina " , d'un hâle irréel !
Là, c'est le substrat gréseux, vierge de toute impûreté, qui se voit flamber de mille éclats ...
Le deuxième polissoir du Lindenberg, le voilà ! Notez l'effritement important des stries.
Le grès arbore ici, des tons très variés, qui interpellent le regard ...
Cette paroi est sacrément travaillée par les éléments et les forces de Dame Nature !
Le deuxième monolithe du Lindenberg, fut sans conteste, le plus marquant des quatre !
Ce petit passage, permet de faire communiquer les deux faces du rocher ...
Dans ce tableau abstrait, l'oeil aguerri pourra identifier des têtes animales et humaines ...
Avant de quitter ces lieux endémiques, jetons un dernier regard sur l'arche-polissoir ...
Une fois parvenus au sommet du roc, nous dégustons une fabuleuse forêt rouillée ...
Nous nous trouvons en plein coeur de l'automne et le panorama nous ensorcelle !
Nous sommes en automne 2008 et le site est toujours aussi beau et sauvage ...
Notre passage au Koetzfels, n'est pas passé inaperçu : une trace écrite s'impose donc !
Cette vue sur le massif du Schweinsfels et du Mohnenberg, nous rend dingues ...
Whôm ... Whôm ... Whôm ... Ce qu'il fait vraiment bon se ressourcer et méditer, ici ...
Un panorama envoûtant, qui nous transporte sur une autre planète ... Un must absolu !!!
Vue de la devanture de l'éperon du Koetzfels, avec son toit si caractéristique ...
Un monumental pin parasol, surveille la phase d'approche finale des lieux ...
La forêt encadrant le site du Koetzfels, fait preuve d'une grande sauvagerie !
Vue générale de la tour d'escalade du " Koetzturm " , avec sa récente échelle ...
Cette échelle d'accès au sommet, est relativement récente ... et fort bienvenue !
La tentation est trop forte et l'emporte sur tout le reste ... Alors oui, je vais monter !
Cette échelle en bois, très aérienne, enjambe un précipice abyssal ... Brrr !!!
Vue printanière, sur le massif du Fischerberg (alt. 436 m).
Panorama quasi infini, sur l'immensité des Vosges du Nord mosellanes ... Splendide !
Vue, en direction du Proche Palatinat allemand (au cap Nord-Ouest) ...
Zoom, sur la chaîne Wittschloessel / Schweinsfels / Gallenberg / Mohnenberg ...
Vue, sur la forteresse semi-troglodytique de la Lutzelhardt (alt. 340 m).
De remarquables mousses et lichens, colonisent le substrat gréseux sommital ...
Le printemps, dans toute son expression : feuillus clairs et résineux foncés !
L'océan d'eau bleue, est ici, remplacé par un océan ... de forêt mixte et ... verte !
Les cladonias blanchis, font toujours partie du voyage, sur un rocher vasgovien ...
Un magnifique ciel dégagé, ensoleillé, en plein printemps : que demander de plus agréable ?
Un cairn dans lequel se trouve un livre de sommet, existe au Koetzfels ... La preuve !
Il suffit juste d'un petit nuage, pour que les couleurs de la forêt se métamorphosent !
Ce lézard des murailles, se prélasse et se réchauffe, au doux soleil printanier ...
Un lieu sauvage et isolé : le rêve, quoi ! Au fond, on distingue le Grand Wintersberg (581 m).
En me recueillant au sommet du Koetzfels, je ne pense à rien, la tête dans les nuages ...
J'ai moi-même, personnellement écrit dans ce " Gipfelbuch " : logique !
Vue d'ensemble : le cairn, le cartouche protecteur et le livre de sommet ! A préserver !!!
Détail, de la " Une " (première page), du livre de sommet du Koetzfels ...
Panorama rabattu, sur le riant vallon encaissé du Fischeracker ... D'enfer !
Ce site me procure un bien-être indescriptible : je m'y sens comme chez moi ! TOP !!!
Vue, sur le grand monolithe esseulé, occupant la crête boisée sommitale (alt. 422 m).
Vue d'ensemble d'approche, du piton isolé du Koetzfels ... Le lieu s'avère hyper sauvage !
Vue générale du site du Koetzfels (malgré une végétation très dense, presque jungluesque ... ).
La partie supérieure du Koetzfels, est composée d'une remarquable tour d'escalade ...
A la base de ladite tour, sur la face Sud, se trouve ce magnifique palier intermédiaire ...
Ooooh ! Surprise ! Le sommet de la tour gréseuse, peut être gravi, grâce à une échelle !
Au sommet de la crête boisée (alt. 422 m), se trouve une accumulation de monolithes ...
L'accès au sommet de la tour, s'effectue en empruntant cette dalle gréseuse, d'exception !
Hum ... Yeeesss !!! Je sens que l'ascension va me réserver de sacrées surprises ...
Bigre, ce que cette échelle est aérienne ... Le vide me fait frissonner !!! Brrr !!!
Ca y est, je suis enfin parvenu à mes fins : j'ai vaincu le sommet du Koetzturm ! Hourra !!!
L'automne est bel et bien là : les arbres feuillus sont déjà bien " rouillés " !
Absolument démentielle, cette dalle sommitale dégarnie, s'ouvrant sur un océan infini !!!
Le panorama en direction des Vosges mosellanes, est absolument décapant, enivrant !
Le Koetzfels est un lieu totalement inconnu, inviolé : idéal pour s'isoler et méditer ! Un must !
Encore une surprise et de taille : ce livre de sommet ( " Gipfelbuch " ), où j'ai écrit dedans !
Les lichens des rennes (ou " cladonias " ), sont emblématiques de la proche contrée ...
Vue, sur le massif du Fischerberg (alt. maxi 436 m).
Vue plongeante, au cap plein Sud, sur le luxuriant vallon du Fischeracker ...
La forêt arbore une couleur orangée insolite ... Aussi, la Moselle (57), n'est-elle pas très loin !
Le site du Koetzfels, est serti au milieu d'une sublime forêt de résineux (pins et sapins) !
L'automne est bel et bien, la plus belle saison de l'année, pour randonner en forêt !
C'est avec beaucoup de regrets, que je quitte ce superbe rocher ! Mais, promis, je reviendrai ...
L'automne dans la forêt du Koetzfels, dans toute sa splendeur ! J'adôôôre !!!/fdata%2F1939360%2Favatar-blog-1041976460-tmpphpO1iomu.jpg){kind=avatar}
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